La source primaire des problèmes financiers est l’accumulation de dettes. Nous vivons dans une société qui pousse à la consommation et encourage à ne pas attendre d’avoir les finances nécessaires pour acheter tel ou tel objet, mais au contraire de l’acquérir tout de suite, à crédit. Le seul moyen de sortir de la spirale des dettes est d’établir un budget précis et de s’y tenir, par exemple en établissant un livre des dépenses et des entrées d’argent. La première des priorités est de mettre de côté la dîme de votre salaire brut, c’est-à-dire le dixième de vos gains. Certains chrétiens dénoncent cette idée sous prétexte que c’était une loi de l’Ancien Testament et que nous n’avons pas à suivre une telle règle. Outre le fait que Jésus a parlé de la dîme et jamais pour nousencourager à laisser tomber cette priorité, Dieu veut toujours nous inciter à Lui obéir, non pas par contrainte, mais parce que Ses bénédictions nous seront ainsi garanties : “Mettez-Moi ainsi à l'épreuve, Je vous prie, dit le Seigneur des Armées ; J'ouvrirai sans faute pour vous les fenêtres du ciel, et Je déverserai pour vous la bénédiction au-delà de toute mesure” (Ml 3. 10). L’esprit de ce texte n’est pas un commandement strict comme “Tu ne tueras pas, tu n’auras pas d’autre Dieu que Moi...”, mais plutôt un encouragement à Lui apporter ce qu’Il considère un minimum, à condition que cela vienne d’un cœur reconnaissant : “Celui qui sème peu moissonnera peu, et celui qui sème largement moissonnera largement. Que chacun donne comme il l'a résolu en son cœur, sans tristesse ni contrainte ; car Dieu aime celui qui donne avec joie” (2 Co 9. 6-7). La dîme devrait être l’expression d’un cœur débordant de gratitude, prêt à obéir et à Lui faire confiance. Un tel cœur généreux n’élèvera aucune objection à donner la dîme au Seigneur ici-bas (église locale, missions...etc). Réfléchissez-y ! | 
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